"Va, dit-il...
Je te livre à ta propre misère...
Trop indigne à mes yeux d'amour ou de colère, tu n'est rien devant moi...
Roule au gré du hasard dans les déserts du vide,
Qu'à jamais loin de moi le Destin soit ton guide,
Et le malheur ton roi!"
Yslaire écrit le second chapitre de Sambre avec les mots fulgurants de la passion et dessine les sentiments avec l'encre du désir.
Au-delà du temps, au-delà de la haine des hommes, l'affrontement amoureux de Bernard Sambre et de Julie se poursuit implacable. Comme un coeur partagé. A jamais... |