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L'histoire commence en 1291, en Terre sainte, alors que les Templiers s'apprêtent à livrer leur dernière bataille. Elle se poursuit à Istanbul, au XVIIIe siècle, où l'on retrouve le Scorpion en fâcheuse posture. Elle s'achève en Cappadoce, " pays où l'eau et le vent ont tracé leurs méandres ", sur la piste d'une croix qui suscite bien des convoitises. Et qui offre à celui qui la possède l'accès au fabuleux trésor des Templiers... À condition de ne pas rester prisonnier d'un sanctuaire creusé à flanc de falaise, comme ce pauvre Scorpion !
Le Scorpion se ferait-il moins fringant au fil de ses aventures ? Cette fois, il ne doit son salut qu'à la vénéneuse – mais séduisante – Méjaï, laquelle se sert de sa ruse pour le tirer des griffes de leurs tortionnaires. Et la fin de ce cinquième volume le laisse dans une situation quelque peu délicate...
Le dessin de Marini, lui, n'a rien perdu de sa superbe, ni ses couleurs de leur flamboyance. Le scénario de Desberg, qui allie avec le même bonheur son goût pour la face cachée de l'Histoire et sa passion de l'action, balade le lecteur au coeur de l'empire Ottoman, sur les routes de la Cappadoce mystérieuse et sur les traces des Chevaliers du Temple...
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