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Et le Diable recueillit les larmes du Christ…
Le traître Benciveni a désormais fait état de l’efficacité du Lacrima Christi à l’aéroport JFK de New York : des centaines de morts et de contaminés que les autorités tentent vaille que vaille de secourir devant toutes les TV du monde. Pour éviter l’Apocalypse, ce n’est plus qu’une question de temps pour Jean Nomane et son équipe… Mais en mettant la main sur la Cronico – la lettre testament de Biancofuri, le créateur du virus –, les agents font une découverte de taille : l’existence d’un possible antidote, que l’alchimiste aurait emporté avec lui avant de sombrer au large d’Haïfa ! |