. |
| "... Dès le premier hiver de l'occupé, les Fridolins se crûrent tout permis, et le maréchal, tout vainqueur de Verdun qu'il était, il ne pouvait pas empêcher grand chose, les allemands se mêlaient de tout arrêter à commencer par les trains, ceux qui espéraient rouler tranquilles jusqu'en Suisse, vers la liberté..." |
|
. |
|
|