| De Gieter (Luc) | 09/04/1932 - ... |
Papyrus -
1. La momie engloutie
2. Le maître des trois portes
3. Le colosse sans visage
4. Le tombeau du pharaon
5. L'égyptien blanc
6. Les 4 doigts du Dieu Lune
7. La vengeance des Ramsès
8. La métamorphose d'Imhotep
9. Les larmes du géant
10. La pyramide noire
11. Le pharaon maudit
12. L'obélisque
13. Le labyrinthe
14. L'île cyclope
15. L'enfant hiéroglyphe
16. Le seigneur des crocodiles
17. Toutankhamon, le pharaon assassiné
18. L'oeil de Ré
19. Les momies maléfiques
20. La colère du grand sphinx
21. Le talisman de la Grande Pyramide
22. La prisonnière de Sekhmet
23. L'Odyssée de Papyrus : 1. le Cheval de Troie
24. L'Odyssée de Papyrus : 2. la Main pourpre
25. L'Odyssée de Papyrus : 3. Le Pharaon fou
26. Le masque d'Horus
27. La fureur des dieux
28. Les enfants d'Isis
29. L'île de la reine morte
30. L'oracle
31. L'or de Pharaon
Parodies
1. Tome 1
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Après ses études artistiques à l'institut Saint-Luc de Bruxelles, Lucien De Gieter travaille pendant quelques années dans une entreprise d'aménagement de magasins, participe à l'Exposition universelle de 1958, puis se lance dans l'esthétique industrielle.
En 1961, lorsque Spirou lance un concours de scénarios, De Gieter vient par ce biais à la bande dessinée. Il envoie une dizaine de scénarios pour des "mini-récits". Certains d'entre eux seront acceptés et dessinés par Ryssack et Matagne. En 1962, il publie sa première bande dessinée, intitulée Pony, en tant que dessinateur. De Gieter continue cette série jusqu'en 1965, année où il collabore avec Peyo sur des histoires de Poussy et encre quelques épisodes des Schtroumpfs.
En 1966, toujours dans Spirou, il démarre seul Toot et Puit, qu'il anime parallèlement à Poussy, et reprend Pony de 1968 à 1971. Il dessine également, en 1967, deux histoires courtes pour le journal Tintin puis travaille très brièvement pour le Journal de Mickey.
En janvier 1974, il entreprend Papyrus, série à laquelle il se consacre encore aujourd'hui. Curieusement, bien que très marqué par sa collaboration avec Peyo dont il tend à s'inspirer pour ses premières réalisations, De Gieter crée un univers graphique dont les personnages doivent physiquement plus à Hergé et à l'école de Bruxelles, qu'à cette autre école, typique de Spirou, dite de Charleroi.
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